Regards et Poésie

Sérénissime

   

 

 

 

     Sérénissime

 

 

   A la foule amoureuse

   La ville était légère

   De diaphanes splendeurs

   Au bord de la lagune

   Posée comme un vitrail

   Lié de canaux sombres

   Où passaient nonchalants

   Gondôles et chanteurs

 

      Des palais emmurants

      Jusqu'au pont des soupirs

      On entend indistinct

      Le murmure des âmes

      Eperdues de grandeur

      Et de beauté cruelle

 

           D’intrigues admirables

           En folies décadentes

           De l’obsédant pouvoir

           Enfantant la merveille

           Sublimez nous toujours

           Quand notre vie fatale

           Nous pousse dans vos bras



20/02/2009
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