Nuages
Nuages
Aux vents du ciel
Ils se promènent
Nuages malades
De ne pouvoir
Que disparaître
En pleurs
Avant de s'élever
Davantage
De morts en renaissances
Sont clair-obscurs des cieux
Adoucis de griseur
Et de panaches blancs
Ô nuées immobiles
Ou boucles vagabondes
Vous entraînez l'espace
Par vos vies éphémères
Au rythme de vos larmes
Va la source de vie
Puissiez vous nous cacher
Des lumières brûlantes
A jamais